Pour souligner la Journée internationale des droits des femmes – une célébration annuelle à Medavie –, et dans l’esprit du thème de la campagne de cette année, « Inspirer l’inclusion », nous avons discuté établissement d’objectifs avec la très inspirante Sylvia Atkinson. Sylvia est chef de service, Service aux clients à Croix Bleue Medavie et championne du monde en titre de force athlétique. En octobre dernier, à l’âge de 50 ans, elle a battu un record mondial aux Championnats du monde de force athlétique classique ouverts de la Fédération internationale de force athlétique qui avaient lieu en Mongolie, permettant à l’équipe canadienne de remporter le prix d’équipe (et d’ainsi battre l’équipe des États‑Unis).
Avez-vous toujours été une personne physiquement active ou étiez-vous novice dans l’univers du sport quand vous avez commencé la force athlétique?
Du plus loin que je me souvienne, j’ai toujours été une personne sportive. Cependant, il y a quelques années, j’ai réalisé que j’avais pris du poids et négligé ma santé. À l’hiver 2017, j’ai donc décidé de reprendre mon bien-être physique en main; je me suis inscrite à des séances d’exercice en groupe que j’ai adorées, ce qui m’a motivée à recommencer à m’entraîner régulièrement.
À l’époque, mon objectif était de perdre du poids, et le cours que je suivais en avril 2018 m’a sensibilisée à l’importance d’être forte, ce qui était pour moi la clé d’un mode de vie sain. Je m’entraînais désormais en ayant un objectif en tête! Le fait de développer ma force m’a aidée à reprendre confiance en moi, ce qui a eu des bienfaits sur ma santé et mon bien-être psychologiques.
Je me suis inscrite à des séances d’entraînement individuelles pour apprendre à développer ma force physique. Mon entraîneur m’a encouragée à trouver ma passion et à me fixer un objectif. Il a découvert ma nature compétitive et m’a encouragée à m’entraîner pour un sport de force, comme l’entraînement en parcours, la force athlétique ou l’haltérophilie. Au début, bien que l’idée de commencer un nouveau sport à l’âge de 45 ans m’intimidait, j’étais convaincue de la pertinence de m’entraîner dans un but précis!